ALEXANDRE CAVALIERE

🟩 Alexandre CAVALIERE

Alexandre CAVALIERE a vu le jour en 1985 prĂšs de Mons en Belgique. Issu d’une famille de musiciens, il grandit entourĂ© d’instruments en guise de jouets. TrĂšs tĂŽt le petit Alexandre fait son apprentissage du rythme en tenant la caisse claire de l’orchestre de son pĂšre. A 8 ans il pratique dĂ©jĂ  rĂ©guliĂšrement le piano, la batterie et bien sĂ»r le violon. C’est dans l’apprentissage de ce dernier instrument qu’Alexandre exprimera le mieux son sens du rythme, ses qualitĂ©s d’improvisation et sa grande sensibilitĂ© musicale. BercĂ© par les mĂ©lodies de Django Reinhardt et StĂ©phane Grappelli, le swing s’impose Ă  Alexandre comme une Ă©vidence musicale.

En mars 1998, le destin donne un coup de pouce à Alexandre en plaçant Didier Lockwood et Babik Reinhardt sur sa route. 

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Ces deux grands musiciens sont alors Ă  Bruxelles pour les Django d’Or. Alexandre quant Ă  lui, est en train de rĂ©pĂ©ter pour une soirĂ©e Ă  l’HĂŽtel Royal Windsor avec son pĂšre, qui dirige le groupe Jazzy Strings . Quelques notes suffisent Ă  Didier Lockwood, Babik Reinhardt et Frank HagĂšge pour dĂ©celer le talent qui se cache sous les mains de ce violoniste. Quelle ne fut pas leur surprise, en poussant la porte du club, de dĂ©couvrir qu’un enfant de 12 ans tenait le violon !  » EtonnĂ©s devant tant de virtuositĂ© et de prĂ©cocitĂ©, ils dĂ©cident d’inviter Alexandre aux Django d’Or Ă  Bruxelles puis Ă  Paris oĂč le succĂšs est immĂ©diat  éclatant ! C’est le dĂ©but d’une belle aventure d’oĂč est nĂ© un premier disque :  « L’ALBUM »  (HĂ©bra records).

Ce jeune virtuose du violon a vite tenu ses promesses de succĂšs. Tout en poursuivant brillamment sa scolaritĂ©, Alexandre enchaĂźne plateaux de tĂ©lĂ©s, radios et les concerts avec des participations trĂšs remarquĂ©es notamment aux Festivals d’Antibes – Juan les Pins, de Marciac, de Samois-sur- Seine, de LiĂšge, de Liberchies, de Gaume, de Maubeuge, au Jazz Marathon de Bruxelles, ou encore aux Django d’Or belges, français ou aux Eurojazz Awards,
 De plus, il a conquis son public sur scĂšne en se produisant au ThĂ©atre Princesse GrĂące de Monaco, en 1Ăšre partie de Michel Jonasz Ă  l’Olympia, comme invitĂ© de l’Orchestre National sur la Grand Place Ă  Bruxelles, lors du festival « Jazz Espoo  » (Finlande),
 et derniĂšrement, grĂące Ă  Dorado Schmitt, il fit sa premiĂšre Ă  New York, pour le festival Django Reinhardt au BIRDLAND.

Il a aussi rencontrĂ© de nombreux musiciens tel que Bireli Lagrene, Dominique Dipiazza, Stochelo Rosenberg, Michel Jonasz, Roby Lakatos, Toots Thielemans, Richard Galliano, Eddy Louis, Dennis Chambers, Richard Bona, Dorado Schmitt 
 ainsi que BenoĂźt Sourisse, AndrĂ© Charlier et Jean Wellers (les musiciens de Didier Lockwood) avec qui il a enregistrĂ© son deuxiĂšme album « NOMADES », qui l’amĂšne Ă  se faire entendre dans un contexte plus moderne, sans se dĂ©partir de son swing naturel.

Mais ces derniĂšres annĂ©es, il s’est investi avec bonheur dans des groupes plus modernes dans lequel son talent connaĂźt de nouveaux dĂ©veloppements.
A signaler aussi, une apparition remarquĂ©e sur une plage du dernier album de Guy Cabay (2005), des collaborations avec Philip Catherine, des groupes fusion comme Alka Celtes Air, Darwin Case ainsi que Musicazur, Fabrizio Cassol, Michel Herr et son tentette etc…

🟩 Jean-louis RASSINFOSSE

Autodidacte, le contrebassiste Jean-louis RASSINFOSSE a travaillĂ© avec la plupart des musiciens belges : Toots Thielemans, Philip Catherine, Jacques Pelzer, Sadi, Michel Herr, Steve Houben, Eric Legnini… Il a aussi accompagnĂ© de nombreux solistes Ă©trangers : Pepper Adams, Tete Montoliu, Richard Galliano, Mike Mainieri, Sal Nistico, Clifford Jordan, Philly Joe Jones, Kirk Lightsey, Charlie Mariano, Michel Pettrucciani, Randy Brecker et surtout, pendant une pĂ©riode de dix ans, Chet Baker pour de nombreuses tournĂ©es en Europe et 6 C.D. dont 4 en trio avec Philip Catherine.

Depuis 80, il prend une place prĂ©pondĂ©rante dans l’enseignement du Jazz en Belgique : SĂ©minaire de LiĂšge, stages d’étĂ©, et depuis 1988 professeur au Conservatoire Royal de Bruxelles.

Il fait actuellement partie de diffĂ©rents groupes dont le trio « l’Âme des poĂštes », le duo avec le pianiste classique Jean-Philippe Collard-Neven, le quintette de Bart Quartier, l’European Swing trio, le trio avec John Ruocco et FĂ©lix Simtaine, le trio de Claudio Roditi (5CD) avec le pianiste allemand Klaus Ignatzek (18 CD) qui l’amena Ă  enregistrer avec Joe Henderson, Jordi Rossy, Gustavo Bergalli, et la regrettĂ©e chanteuse roumaine Anca Parghel. Il enregistra sous son nom l’album « Crossworlds » qui rĂ©unit ses deux groupes phares : l’Ame des PoĂštes et le quintette de Klaus Ignatzek.

D’autre part, ses talents d’humoriste sont mis en valeur dans un spectacle parodique « Le Reliquaire des Braves », et dans sa collaboration Ă  l’Ă©criture des deux derniers spectacles de la « Framboise Frivole » (MoliĂšre 2004).

Figure incontournable du jazz belge, sideman trÚs recherché, on peut apprécier son lyrisme et son son de basse tellurique sur une centaine de C.D. »

🟩 Vincent BRUYNINCKX

Vincent BRUYNINCKX Ă©tudie le piano classique avec VĂ©ronique Moureaux et le jazz avec Thierry Smets, Nathalie Loriers puis dans la classe d’Eric Legnini au Conservatoire royal de Bruxelles. Il complĂšte son cursus musical par des cours et stages d’analyse musicale, composition, musique de chambre, improvisation… Sa curiositĂ© et sa formation diversifiĂ©e – il est aussi licenciĂ© en physique – l’amĂšnent trĂšs tĂŽt Ă  considĂ©rer la musique sous des angles divers, tant stylistiques que techniques (informatique, synthĂ©tiseurs, acoustique, neurosciences).

On le voit sur la scĂšne du jazz belge, accompagnant notamment le projet Tribute to Toots Thielemans, Fred Delplancq, Laurent Doumont, StĂ©phane Mercier, Fabrice Alleman, Phil Abraham, Gino Lattuca, le Jazz Station Big Band, le Brussels Jazz Orchestra, Richard Rousselet, Jeanfrançois Prins, Bruno Castellucci, BenoĂźt Vanderstraeten, Daniel Romeo, Paco Sery
 IntĂ©ressĂ© de longue date par la musique de chambre et contemporaine, il est collaborateur occasionnel de l’Ensemble Musiques Nouvelles. Son parcours inclut Ă©galement des incursions rĂ©guliĂšres dans la pop, la chanson
 Il se produit rĂ©guliĂšrement dans les salles europĂ©ennes (des Pays-Bas Ă  la Turquie) et au-delĂ  (Etats-Unis, Moyen-Orient, Asie). Il enseigne actuellement le jazz (aux cĂŽtĂ©s d’Eric Legnini) et l’acoustique au Conservatoire Royal de Bruxelles.

🟩 FrĂ©dĂ©ric GUEDON

Originaire de Clermont Ferrand, FrĂ©dĂ©ric GUEDON commence la guitare Ă  l’adolescence et trĂšs vite est interpellĂ© par le musette, la valse et la musique de Django. Il opĂšre dans toute la France avant de rejoindre Bruxelles oĂč il vit depuis quelques annĂ©es.

🟩 Emmanuel BONETTI

Emmanuel BONETTI a commencĂ© la guitare Ă  l’Ăąge de 15 ans de maniĂšre autodidacte, s’intĂ©ressant au rock au sens large (qu’il mit en pratique dans des groupes locaux) avec des excursions diverses allant jusqu’au classique.

AprĂšs une tentative Ă  l’universitĂ© en philosophie, pĂ©riode durant laquelle il dĂ©couvrit d’autres styles : jazz, traditionnel indien, contemporain…, il dĂ©cide de se consacrer pleinement Ă  la musique.

Il entreprit donc des Ă©tudes au jazz studio d’Anvers qu’il quitta aprĂšs la troisiĂšme annĂ©e pour poursuivre au conservatoire francophone de jazz de Bruxelles pendant deux ans avec Paolo Radoni et terminer Ă  l’Ă©quivalent nĂ©erlandophone avec Fabien Degryse.

Il accompagne entre autres la chanteuse Fanny Beriaux.

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