ALEGRIA E LIBERTA

🟩 LUCILLA GALEAZZI

VĂ©ritable ‘passionaria’ du chant populaire italien, Lucilla GALEAZZI partage sa carriĂšre entre prestations solistes et participation Ă  des projets menĂ©s par d’autres grands artistes.

Elle rejoint ainsi le Vocal Quartet de Giovanna Marini et L’Arpeggiata de Christina Pluhar, et continue Ă  chanter et Ă  tourner avec ses propres projets musicaux, faisant connaĂźtre dans le monde entier la tradition orale de la musique populaire italienne.

Lucilla GALEAZZI est nĂ©e Ă  Terni, une petite ville industrielle d’Ombrie. AprĂšs ses dĂ©buts de chanteuse pop, elle aborde rapidement la musique populaire Ă  la suite d’une rencontre avec l’anthropologue ombrien, Valentino Paparelli, et l’historien des traditions orales, Alessandra Portelli, tous deux impliquĂ©s dans la recherche ethnomusicologique en Ombrie et dans le centre de l’Italie.

Depuis 2002, elle participe au projet baroque L’Arpeggiata, chantant dans 2 albums primĂ©s et jouant dans le monde entier. Elle a Ă©galement Ă©tĂ© membre du Trio Rouge, avec Michel Godard et Vincent Courtois.

En 2010, elle fonde l’ensemble vocal Levocidoro, rĂ©unissant 6 voix de femmes pour des projets consacrĂ©s Ă  la musique polyphonique de tradition italienne. Sa collaboration avec l’ensemble vocal fĂ©minin marocain B’net Houariyat dĂ©bute en 2012. En 2014, elle Ă©crit et promeut 2 grands spectacles de théùtre musical consacrĂ©s Ă  la PremiĂšre Guerre mondiale : ‘Doppio Fronte : Oratorio per la Grande Guerra’, avec le cĂ©lĂšbre acteur et danseur, Moni Ovadia, et ‘Il fronte delle donne’, créé Ă  Rome pour les cĂ©lĂ©brations du centenaire de la PremiĂšre Guerre mondiale, sous le Haut Patronage du gouvernement italien.

Le 25 avril 2015 marque la sortie de l’album ‘Bella Ciao’, suivie d’une tournĂ©e dans les principaux théùtres, Ă  travers le monde. En 2016, elle Ă©crit et joue ‘La nave a vapore’, un spectacle consacrĂ© Ă  l’histoire des grand mouvements migratoires italiens.

Fin 2016, la production ‘Quanto sei bella Roma’, donnĂ©e dans les musĂ©es du Capitole, rend hommage aux chansons et aux cultures de la Rome antique.

🟩 IALMA

Il n’apparaĂźt pas d’association plus Ă©vidente que celle du mot « camiño » (le chemin) avec la ville de Santiago de Compostela (Saint-Jacques de Compostelle). ParticuliĂšrement quand cette association est portĂ©e par 4 de ses plus fiĂšres ambassadrices : IALMA ; ces 4 ravissantes « cantareiras » qui, depuis prĂšs de 20 ans, chantent et jouent leur rĂ©gion d’origine – la Galice – Ă  travers le monde entier.

Depuis leurs tout débuts et « Palabras Darei », leur 1er album, que de chemins parcourus.

Des chemins encore vierges, aux dĂ©tours desquels se trouve la rencontre, souvent inattendue mais au combien riche en dĂ©couvertes ; des chemins de traverse qui sentent bon l’aventure et la libertĂ© ; des chemins escarpĂ©s qui ont parfois semĂ© le doute sur la voie Ă  suivre; des chemins dĂ©tournĂ©s, sources d’expĂ©riences nouvelles ; des chemins qui ont ainsi croisĂ© les routes de nombreux artistes aux univers bien diffĂ©rents avec lesquels elles n’ont pas hĂ©sitĂ© Ă  faire
 un petit bout de chemin, tels Dulce Pontes, Carlos Nuñez, Kepa Junkera, Mercedes Peon, Eliseo Parra, mais aussi Arno, Zefiro Torna, Philippe Catherine, Renaud, Lucilla Galeazzi, Leila Amezian, Manou Gallo, Carlo Rizzo, Quentin Dujardin, Dick Van der Harst, Urban Trad, Fabrizio Cassol, Perry Rose, 


Bien que rĂ©sidant Ă  Bruxelles, Veronica, Natalia, Marisol et Eva sont en connexion permanente avec la Galice. La culture musicale et les traditions galiciennes sont en effet leurs intarissables sources d’inspiration qui leur ont permis de construire, petit Ă  petit, un rĂ©pertoire de chants empruntĂ©s Ă  leurs racines mais adaptĂ©s Ă  leur quotidien : celui de femmes d’aujourd’hui, en prise avec plusieurs cultures, plusieurs langues, plusieurs esthĂ©tiques musicales.

IALMA est le tĂ©moin de cette Ă©volution musicale et artistique qui a commencĂ© dans la tradition orale galicienne et s’est ensuite aventurĂ©e vers un mixage surprenant, avec une nouvelle gĂ©nĂ©ration de rythmes et de tendances.

« DĂ©couvrir de nouvelles cultures musicales nous permet de nous enrichir et de nous connaĂźtre mieux ». Voici la meilleure façon de dĂ©finir l’évolution du projet artistique de IALMA et son importante contribution Ă  perpĂ©tuer, rĂ©nover et faire Ă©voluer ce genre musical particulier.

🟩 DIDIER LALOY

Didier Laloy dĂ©bute l’accordĂ©on diatonique Ă  l’ñge de 13 ans et participe Ă  de nombreux stages avec Bruno Le Tron, Marc Perrone et Jean-Pierre Yvert.

Il est depuis plusieurs annĂ©es considĂ©rĂ© comme l’un des reprĂ©sentants les plus actifs du renouveau de l’accordĂ©on diatonique en Europe. Son aisance sur scĂšne, son aptitude Ă  aborder tous les genres musicaux, ses qualitĂ©s humaines font de lui un musicien trĂšs demandĂ© (il a jouĂ© sur pas moins de 120 albums).

Il est membre fondateur de nombreux groupes : son premier projet personnel, avec ses compositions S-Tres/version originale (double CD) ; puis, dans la foulĂ©e, Didier Laloy invite…s, [PĂŽ-Z]s, Noir’s, CouturiĂšre (Musique et théùtre), Didier Laloy / Tuur Florizzoone et, tout derniĂšrement, Didier Laloy/Kathy Adam.

Il est Ă©galement membre fondateur du groupe Samurai, quintet d’accordĂ©ons diatoniques europĂ©ens.

Didier Laloy accompagne IALMA depuis 1999…

Il a défini son propre style à travers sa « liberté de création », qui consiste à suivre ses envies personnelles et surtout à amener son public dans des lieux encore inconnus.

🟩 CARLO RIZZO

Carlo RIZZO, nĂ© Ă  Mestre (Venise) en 1955, se destinait Ă  la peinture aprĂšs avoir obtenu son diplĂŽme d’Etat Ă  l’AcadĂ©mie des Beaux-Arts de Rome, mais il bifurque brusquement vers la musique qui n’était jusqu’alors pour lui qu’un passe-temps. C’est qu’en 1979, il a dĂ©couvert le tambourin grĂące Ă  Alfio Antico et Raffaele Inserra, deux percussionnistes traditionnels du sud d’Italie… mais il poursuit seul son apprentissage et dĂ©couvre peu Ă  peu, Ă  travers les rĂ©pertoires traditionnels, mais aussi la musique ancienne et les recherches les plus contemporaines, toutes les possibilitĂ©s des percussions jouĂ©es Ă  la main.

L’interprĂšte en lui se double d’un inventeur, car pour aller plus loin encore, il en vient Ă  crĂ©er deux nouveaux instruments, le tambourin polytimbral et le tambourin multitimbral, qui lui permet d’adapter Ă  chacun de ces rĂ©pertoires qu’il a fait siens son Ă©tonnante virtuositĂ© et son sens de l’improvisation.

Carlo RIZZO joue en solo depuis 1992 dans des concerts mĂ©langeant percussion et chant. Les grandes scĂšnes nationales et des festivals internationaux le programment rĂ©guliĂšrement. Depuis 1988, il a créé ou participĂ© Ă  la crĂ©ation d’une trentaine ensembles qui lui ont permis de se sentir aussi Ă  l’aise en musique traditionnelle, ancienne, contemporaine ou jazz.

🟩 MAARTEN DECOMBEL

Depuis son plus jeune Ăąge, Maarten DECOMBEL (1981) est gourmand de musique. Il commence Ă  jouer Ă  l’ñge de neuf ans, dĂ©couvre la guitare folk Ă  l’adolescence et Ă©tudie la guitare classique (chez Yves Storms) ainsi que la guitare jazz au conservatoire.

Il joue aujourd’hui dans ses propres projets : Snaarmaarwaar & Göze mais Ă©galement dans Naragonia Quartet et MANdolinMAN. Il a, par le passĂ©, Ă©tĂ© actif dans plusieurs formations : e.a. Griff, RĂ©mi Decker, Urban Trad, Les Tisserands, Christian Merveille
 Ses concerts l’ont menĂ© partout en Europe, en Chine, au Canada, au Japon


On pourrait dĂ©crire son style comme la combinaison unique d’une « Ă©nergie pulsante » et d’un « lyrisme dĂ©lectable ». Il anime rĂ©guliĂšrement des stages de guitare folk et d’ensemble et donne cours Ă  l’acadĂ©mie de musique de Deinze.

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